Cette nouvelle formule concerne plus un relookage du mag qu'un réel changement dans les rubriques ou leur agencement. On y retrouve ce qui fait le charme du mag : une interview intéressante (de Stefan Brück d'Alea), quelques pages de tests (essentiellement des nouveautés), le jeu en encart, etc...
Au niveau du look général, on y gagne en clarté, mais la mise en page semble toujours la bête noire avec des photos placées parfois un peu bizarrement et des colonnes blanches en fin d'articles...
La seule vraie nouveauté finalement se trouve dans les tests, avec la disparition des notes au profit d'une icône plus générale.

On y retrouve aussi un peu toujours la même brochette de rédacteurs, et surtout un peu toujours les mêmes éditeurs mis en avant (Asmodée et Days of Wonder), mais cela correspond finalement au marché du jeu hexagonal.
Le dossier est consacré aux différents métiers du monde du jeu. Il ne vous dira pas comment entrer dans ce monde merveilleux, mais vous propose un tour d'horizon très intéressant sur les différents profils que l'on peut trouver (du ludothécaire au directeur de collection; certains éditeurs qui recrutent avant tout des passionnés, tandis que d'autres préfèrent d'abord des gens qualifiés pour le poste...).
On regrettera de ne pas trouver le guide d'achat de Noël dans ce numéro (il sera dans le prochain, dont la sortie est prévue pour le 15 décembre) ou cette bonne vieille rubrique de Casus Belli où le second degré prime et raffraichit le lecteur.